
En salle le
30 janvier 2019
De
P. De Chauveron
Avec
C. Clavier, C. Lauby, É. Fontan
Genre
Comédie (1 h 38)
Distributeur
JMH
Claude et Marie Verneuil font face à une nouvelle crise : leurs quatre gendres sont décidés à quitter la France avec femmes et enfants pour tenter leur chance à l’étranger. Incapables d’imaginer leur famille loin d’eux, ils sont prêts à tout pour les retenir.
Jamais content
Toujours aussi réac et hystérique, le patriarche de la famille Verneuil ne pouvait que retrouver les traits de Christian Clavier.
Avez-vous hésité avant de vous relancer dans l’aventure du « Bon Dieu » ?
Christian Clavier : Non, j’ai immédiatement accepté. J’avais dit à Philippe de Chauveron que je le suivrais si l’aventure se poursuivait car je m’étais régalé sur le premier volet, et vu le triomphe qui lui a été réservé, ça me paraissait évident de jouer dans la suite. C’est toujours un plaisir quand le public vous accompagne ; il ne s’agit pas de compter les entrées mais de partager avec les spectateurs quelque chose et de se dire qu’on a un humour commun.
Qu’est-ce qui vous plaisait dans ce nouveau scénario ?
Le fait de retrouver les personnages que l’on a découvert dans « Qu’est-ce qu’on a fait au bon dieu ? », cette famille composée de mariages mixtes entre les filles et les gendres. Ils sont face à une nouvelle problématique, mais ce sont les mêmes, avec des traits de caractère bien à eux.
Avez-vous retrouvé facilement votre personnage de Claude Verneuil ?
Oui, car dès le départ, Philippe l’avait écrit pour moi et nous nous sommes tellement amusés à le créer sur le premier film que j’avais gardé en tête le souvenir d’un vrai plaisir de jeu. C’est un homme qui dit tout ce qu’on ne doit pas dire : sa pensée est sa parole, c’est donc jouissif de l’incarner. C’est une belle rencontre ce Claude Verneuil car c’est un vrai personnage comique.
Y avait-il place à l’improvisation ?
Oui car j’aime amener des choses au fil du jeu pour pouvoir apporter à mon personnage à toutes les prises. Après, Philippe fait le choix de les garder ou pas, mais c’est comme ça que je procède : je passe mes journées à jouer.